Le récapitulatif en PJ

Faute de menace internationale, heureusement que les JO sont là ! Copains comme cochons, S’ils commencent à festoyer 7 ans avant, l’addition risque d’être lourde d’ici 2024.
Allez, après avoir laminé la Grèce, lieu et place de la naissance de la démocratie vous détruisez le droit social dans un des pays qui est le symbole des mouvements populaires depuis la Révolution et on vous concède les jeux ? Non, ils n’oseraient pas tout de même...Ce n’est pas des jeux que l’on veut c’est la sauvegarde de notre dignité et de la planète.

« Nous voulons favoriser le dialogue, nous voulons faciliter le dialogue, nous voulons faciliter le dialogue ..... » de sourds ?
Dans notre métier, comme en politique, « le travail d’équipe dans un climat de dialogue et de confiance », maîtres mots des hiérarques intermédiaires ambitieux et des administratifs carriéristes se résument par « nous pensons et décidons et vous appliquez sans réfléchir par devoir de loyauté ».
C’est ce qu’ils nomment l’exploitation...oups ! la mutualisation des compétences...

« Cette semaine c’est un article de Philippe Barre, militant de Solidaires Val-de-Marne et de SUD éducation 94, que Les Utopiques mettent en ligne. »UBER pour les enfants de prolo, les grandes écoles pour les mômes de la bourgeoisie" résonnera particulièrement dans cette période de mobilisation des (...)

Un des arguments des défenseurs du « tout informatique » est de se demander « mais qui serait intéressé par les données des établissements scolaires ? ». Une début de réponse qui nous laisse imaginer ce qui pourrait arriver en cas d’intrusion au moment du BAC ou de saisie de vœux APB : Confusion totale dans les demandes d’inscription post bac, impossibilité d’accéder aux résultats chiffrés du BAC, qu’en serait-il des copies dématérialisées ? A l’évidence, le Ministère ne semble pas prendre ces menaces au sérieux. Quelles sont les mesures concrètes qui sont prises pour garantir la sécurité des données privées des usagers et des salarié-e-s ? Qui porterait la responsabilité des préjudices subis alors que ce fonctionnement nous est imposé sans réelles garanties ?