Nous avons été contactés par des camarades pour diffuser l’info suivante :
La stratégie d’un jour grévé par semaine n’était pas très efficace pour se faire entendre, et était vouée à perdre en nombre de grévistes. Nous avons alors évoqué l’idée d’une grande manifestation parisienne début mars, avant la (...)

Toute loi qui fragilise la dignité des salari-é-es contribue à la violence au travail. La dernière loi travail en est le parfait exemple. Le travail tue et le pouvoir politique qui fragilise la protection des salari-é-es est complice de cette violence quotidienne subie par beaucoup de travailleuses et de travailleurs.
Réformes inutiles et imposées à chaque changement de ministre, augmentation de la charge de travail, multiplication des obligations de service, travail non payé, précarité, harcèlement de la part des supérieurs, complicité de la hiérarchie qui couvre les abus, disponibilité permanente par l’hyper connexion... Chaque tour d’écrou pour augmenter les profits, augmente la souffrance au travail alors que « élus », pour qui nous ne sommes devenus que des outils de leurs ambitions, restent sourds aux cris de douleur des salarié-e-s. Aucune violence vers les citoyens n’est légitime et celle de l’État encore moins. En nous confisquant notre dignité, ils piétinent nos vies.

Projet de loi retraites : même le Conseil d’Etat désavoue le gouvernement
Le Conseil d’Etat a rendu un avis sur le projet de loi sur les retraites. Il met en évidence le caractère bâclé de l’affaire s’agissant de la transformation d’un élément central du modèle social français. Et en particulier : (...)

Un 24 massif et déterminé pour le retrait
Le Président de la République a donné son feu vert à l’examen en Conseil des ministres du projet de loi sur les retraites le 24 janvier 2020. Ce projet renvoie à de nombreuses ordonnances et décrets qui définiront ultérieurement et sans débat les dispositions (...)